Projet National de Recherche "Ville 10D, villes d'idées"
Monique LABBÉ, Présidente (de 2005 à 2017) du Comité Espace Souterrain de l’AFTES - Association Française des Tunnels et de l’Espace Souterrain – mène sur les thèmes de l'urbanisme souterrain une réflexion qui fait régulièrement l’objet d’interventions dans des colloques internationaux. Cette activité permet à l’agence d’être informée, au plus haut niveau, des récentes avancées techniques de ce domaine.
Pour contribuer à lever les obstacles au développement d’un véritable urbanisme souterrain que Monique Labbé a initié le Projet National de Recherche « Ville 10D, villes d’idées ».
Ouverture Ligne 14, Gare de Lyon - 1998 -- Centre Eaton, Montréal -- Plan de la station de RER Auber. Source: RATP --Construction de la gare Châtelet-les-Halles - Avril 1975 Source: RATP -- Tunnelier de la ligne 14 - 1998 Source: RATP -- Eugène Hénard - Rue Future - 1911
Genèse
En 2012 l’architecte Monique Labbé a fondé le Projet National de Recherche « Ville 10D, villes d’idées » pour explorer la capacité du sous-sol urbain à contribuer au développement harmonieux et durable de la ville. Cette démarche est avant tout le fruit d’une passion.
Dès le début de sa carrière d’architecte, Monique Labbé s’est investie dans l’étude des aménagements souterrains, en abordant des sujets très divers comme les habitats troglodytes de la région de Madrid ou, en collaboration avec Pierre Duffaut, les possibilités d’aménagement du sous-sol dans le Val-de-Marne.
La conquête du sous-sol
L’absence de façade, la malléabilité et la fluidité des aménagements souterrains expriment l’assouvissement de besoins au fur et à mesure de leur apparition – création d’une alcôve pour un meuble, adjonction d’une pièce, extension d’un volume naturel etc. – dans une sédimentation temporelle et une ramification spatiale tridimensionnelle qui s’oppose aux ordonnancements codifiés de l’architecture de surface.
Réseau urbain
Si l’espace souterrain présente un renouvellement de perspective et d’opportunité dans le domaine de l’architecture, c’est à l’échelle de la ville qu’il peut développer son plein potentiel. L’extension de la ville en sous-sol en réponse à de nouveaux besoins fonctionnels et la connexion des espaces répondent aux nouvelles attentes de la ville durable, pour limiter l’étalement urbains, compactifier les réseaux, favoriser la mixité fonctionnelle etc. Le PN Ville 10D est donc avant tout ancré dans le domaine de l’urbanisme.
Perception extérieure
Dans les premières années de son exploration de l’urbanisme souterrain, Monique Labbé s’est heurtée à un scepticisme parfois amusé de la part des Maître d’Ouvrages quand elle a cherché à développer le potentiel du sous-sol urbain, le concept apparaissant comme un oxymore fantaisiste sans réelle possibilité d’application à l’urbanisme général.
Les choses ont radicalement changé. L’idée de démultiplier la ville en sous-sol pour en améliorer la durabilité dans toutes ses dimensions, d’un point de vue environnemental mais aussi au niveau de la pertinence sociale et de la sobriété économique, devient de plus en plus consensuelle. Pourtant les exemples de mise en œuvre d’un véritable urbanisme souterrain restent rares.
Contenu de la recherche
Le projet de recherche Ville10D a mobilisé des partenaires nombreux et divers : laboratoires de recherche, établissements et organismes publics d’étude et de recherche, maîtres d’ouvrage d’aménagement urbain, de transport ou d’énergie, services de l’Etat et collectivités territoriales, entreprises et sociétés d’ingénierie œuvrant dans l’aménagement urbain ou dans la logistique urbaine
Les partenaires ont travaillé sur quatre thèmes sectoriels (socio-économique, environnemental, psycho-social, cognitif) qui ont été croisés du point de vue de la planification urbaine et du droit et confrontés à des sites d’application. Après avoir établi un état des lieux de l’aménagement de l’espace souterrain, les chercheurs ont élaboré, dans chacune des thématiques, des propositions et recommandations pour lever les obstacles à l’usage urbain du sous-sol et améliorer les conditions de son aménagement.
Actualité
Monique Labbé travaille actuellement à la rédaction d’un « Guide des bonnes pratiques de l’espace souterrain » qui proposera une synthèse des recherches et recommandations élaborées par le projet national de recherche, pour accompagner les acteurs de la fabrication urbaine, en particulier les Maître d’Ouvrage, dans leur appropriation du sous-sol et répondre aux questions qu’il se posent, voire aux doutes qu’ils éprouvent, au sujet de l’urbanisme souterrain. Cet ouvrage sera publié début 2023.
Genèse
En 2012 l’architecte Monique Labbé a fondé le Projet National de Recherche « Ville 10D, villes d’idées » pour explorer la capacité du sous-sol urbain à contribuer au développement harmonieux et durable de la ville. Cette démarche est avant tout le fruit d’une passion.
Dès le début de sa carrière d’architecte, Monique Labbé s’est investie dans l’étude des aménagements souterrains, en abordant des sujets très divers comme les habitats troglodytes de la région de Madrid ou, en collaboration avec Pierre Duffaut, les possibilités d’aménagement du sous-sol dans le Val-de-Marne.
La conquête du sous-sol
L’absence de façade, la malléabilité et la fluidité des aménagements souterrains expriment l’assouvissement de besoins au fur et à mesure de leur apparition – création d’une alcôve pour un meuble, adjonction d’une pièce, extension d’un volume naturel etc. – dans une sédimentation temporelle et une ramification spatiale tridimensionnelle qui s’oppose aux ordonnancements codifiés de l’architecture de surface.
Réseau urbain
Si l’espace souterrain présente un renouvellement de perspective et d’opportunité dans le domaine de l’architecture, c’est à l’échelle de la ville qu’il peut développer son plein potentiel. L’extension de la ville en sous-sol en réponse à de nouveaux besoins fonctionnels et la connexion des espaces répondent aux nouvelles attentes de la ville durable, pour limiter l’étalement urbains, compactifier les réseaux, favoriser la mixité fonctionnelle etc. Le PN Ville 10D est donc avant tout ancré dans le domaine de l’urbanisme.
Perception extérieure
Dans les premières années de son exploration de l’urbanisme souterrain, Monique Labbé s’est heurtée à un scepticisme parfois amusé de la part des Maître d’Ouvrages quand elle a cherché à développer le potentiel du sous-sol urbain, le concept apparaissant comme un oxymore fantaisiste sans réelle possibilité d’application à l’urbanisme général.
Les choses ont radicalement changé. L’idée de démultiplier la ville en sous-sol pour en améliorer la durabilité dans toutes ses dimensions, d’un point de vue environnemental mais aussi au niveau de la pertinence sociale et de la sobriété économique, devient de plus en plus consensuelle. Pourtant les exemples de mise en œuvre d’un véritable urbanisme souterrain restent rares.
Contenu de la recherche
Le projet de recherche Ville10D a mobilisé des partenaires nombreux et divers : laboratoires de recherche, établissements et organismes publics d’étude et de recherche, maîtres d’ouvrage d’aménagement urbain, de transport ou d’énergie, services de l’Etat et collectivités territoriales, entreprises et sociétés d’ingénierie œuvrant dans l’aménagement urbain ou dans la logistique urbaine
Les partenaires ont travaillé sur quatre thèmes sectoriels (socio-économique, environnemental, psycho-social, cognitif) qui ont été croisés du point de vue de la planification urbaine et du droit et confrontés à des sites d’application. Après avoir établi un état des lieux de l’aménagement de l’espace souterrain, les chercheurs ont élaboré, dans chacune des thématiques, des propositions et recommandations pour lever les obstacles à l’usage urbain du sous-sol et améliorer les conditions de son aménagement.
Actualité
Monique Labbé travaille actuellement à la rédaction d’un « Guide des bonnes pratiques de l’espace souterrain » qui proposera une synthèse des recherches et recommandations élaborées par le projet national de recherche, pour accompagner les acteurs de la fabrication urbaine, en particulier les Maître d’Ouvrage, dans leur appropriation du sous-sol et répondre aux questions qu’il se posent, voire aux doutes qu’ils éprouvent, au sujet de l’urbanisme souterrain. Cet ouvrage sera publié début 2023.
Genèse
En 2012 l’architecte Monique Labbé a fondé le Projet National de Recherche « Ville 10D, villes d’idées » pour explorer la capacité du sous-sol urbain à contribuer au développement harmonieux et durable de la ville. Cette démarche est avant tout le fruit d’une passion.
Dès le début de sa carrière d’architecte, Monique Labbé s’est investie dans l’étude des aménagements souterrains, en abordant des sujets très divers comme les habitats troglodytes de la région de Madrid ou, en collaboration avec Pierre Duffaut, les possibilités d’aménagement du sous-sol dans le Val-de-Marne.
La conquête du sous-sol
L’absence de façade, la malléabilité et la fluidité des aménagements souterrains expriment l’assouvissement de besoins au fur et à mesure de leur apparition – création d’une alcôve pour un meuble, adjonction d’une pièce, extension d’un volume naturel etc. – dans une sédimentation temporelle et une ramification spatiale tridimensionnelle qui s’oppose aux ordonnancements codifiés de l’architecture de surface.
Réseau urbain
Si l’espace souterrain présente un renouvellement de perspective et d’opportunité dans le domaine de l’architecture, c’est à l’échelle de la ville qu’il peut développer son plein potentiel. L’extension de la ville en sous-sol en réponse à de nouveaux besoins fonctionnels et la connexion des espaces répondent aux nouvelles attentes de la ville durable, pour limiter l’étalement urbains, compactifier les réseaux, favoriser la mixité fonctionnelle etc. Le PN Ville 10D est donc avant tout ancré dans le domaine de l’urbanisme.
Perception extérieure
Dans les premières années de son exploration de l’urbanisme souterrain, Monique Labbé s’est heurtée à un scepticisme parfois amusé de la part des Maître d’Ouvrages quand elle a cherché à développer le potentiel du sous-sol urbain, le concept apparaissant comme un oxymore fantaisiste sans réelle possibilité d’application à l’urbanisme général.
Les choses ont radicalement changé. L’idée de démultiplier la ville en sous-sol pour en améliorer la durabilité dans toutes ses dimensions, d’un point de vue environnemental mais aussi au niveau de la pertinence sociale et de la sobriété économique, devient de plus en plus consensuelle. Pourtant les exemples de mise en œuvre d’un véritable urbanisme souterrain restent rares.
Contenu de la recherche
Le projet de recherche Ville10D a mobilisé des partenaires nombreux et divers : laboratoires de recherche, établissements et organismes publics d’étude et de recherche, maîtres d’ouvrage d’aménagement urbain, de transport ou d’énergie, services de l’Etat et collectivités territoriales, entreprises et sociétés d’ingénierie œuvrant dans l’aménagement urbain ou dans la logistique urbaine
Les partenaires ont travaillé sur quatre thèmes sectoriels (socio-économique, environnemental, psycho-social, cognitif) qui ont été croisés du point de vue de la planification urbaine et du droit et confrontés à des sites d’application. Après avoir établi un état des lieux de l’aménagement de l’espace souterrain, les chercheurs ont élaboré, dans chacune des thématiques, des propositions et recommandations pour lever les obstacles à l’usage urbain du sous-sol et améliorer les conditions de son aménagement.
Actualité
Monique Labbé travaille actuellement à la rédaction d’un « Guide des bonnes pratiques de l’espace souterrain » qui proposera une synthèse des recherches et recommandations élaborées par le projet national de recherche, pour accompagner les acteurs de la fabrication urbaine, en particulier les Maître d’Ouvrage, dans leur appropriation du sous-sol et répondre aux questions qu’il se posent, voire aux doutes qu’ils éprouvent, au sujet de l’urbanisme souterrain. Cet ouvrage sera publié début 2023.
Genèse
En 2012 l’architecte Monique Labbé a fondé le Projet National de Recherche « Ville 10D, villes d’idées » pour explorer la capacité du sous-sol urbain à contribuer au développement harmonieux et durable de la ville. Cette démarche est avant tout le fruit d’une passion.
Dès le début de sa carrière d’architecte, Monique Labbé s’est investie dans l’étude des aménagements souterrains, en abordant des sujets très divers comme les habitats troglodytes de la région de Madrid ou, en collaboration avec Pierre Duffaut, les possibilités d’aménagement du sous-sol dans le Val-de-Marne.
La conquête du sous-sol
L’absence de façade, la malléabilité et la fluidité des aménagements souterrains expriment l’assouvissement de besoins au fur et à mesure de leur apparition – création d’une alcôve pour un meuble, adjonction d’une pièce, extension d’un volume naturel etc. – dans une sédimentation temporelle et une ramification spatiale tridimensionnelle qui s’oppose aux ordonnancements codifiés de l’architecture de surface.
Réseau urbain
Si l’espace souterrain présente un renouvellement de perspective et d’opportunité dans le domaine de l’architecture, c’est à l’échelle de la ville qu’il peut développer son plein potentiel. L’extension de la ville en sous-sol en réponse à de nouveaux besoins fonctionnels et la connexion des espaces répondent aux nouvelles attentes de la ville durable, pour limiter l’étalement urbains, compactifier les réseaux, favoriser la mixité fonctionnelle etc. Le PN Ville 10D est donc avant tout ancré dans le domaine de l’urbanisme.
Perception extérieure
Dans les premières années de son exploration de l’urbanisme souterrain, Monique Labbé s’est heurtée à un scepticisme parfois amusé de la part des Maître d’Ouvrages quand elle a cherché à développer le potentiel du sous-sol urbain, le concept apparaissant comme un oxymore fantaisiste sans réelle possibilité d’application à l’urbanisme général.
Les choses ont radicalement changé. L’idée de démultiplier la ville en sous-sol pour en améliorer la durabilité dans toutes ses dimensions, d’un point de vue environnemental mais aussi au niveau de la pertinence sociale et de la sobriété économique, devient de plus en plus consensuelle. Pourtant les exemples de mise en œuvre d’un véritable urbanisme souterrain restent rares.
Contenu de la recherche
Le projet de recherche Ville10D a mobilisé des partenaires nombreux et divers : laboratoires de recherche, établissements et organismes publics d’étude et de recherche, maîtres d’ouvrage d’aménagement urbain, de transport ou d’énergie, services de l’Etat et collectivités territoriales, entreprises et sociétés d’ingénierie œuvrant dans l’aménagement urbain ou dans la logistique urbaine
Les partenaires ont travaillé sur quatre thèmes sectoriels (socio-économique, environnemental, psycho-social, cognitif) qui ont été croisés du point de vue de la planification urbaine et du droit et confrontés à des sites d’application. Après avoir établi un état des lieux de l’aménagement de l’espace souterrain, les chercheurs ont élaboré, dans chacune des thématiques, des propositions et recommandations pour lever les obstacles à l’usage urbain du sous-sol et améliorer les conditions de son aménagement.
Actualité
Monique Labbé travaille actuellement à la rédaction d’un « Guide des bonnes pratiques de l’espace souterrain » qui proposera une synthèse des recherches et recommandations élaborées par le projet national de recherche, pour accompagner les acteurs de la fabrication urbaine, en particulier les Maître d’Ouvrage, dans leur appropriation du sous-sol et répondre aux questions qu’il se posent, voire aux doutes qu’ils éprouvent, au sujet de l’urbanisme souterrain. Cet ouvrage sera publié début 2023.
Genèse
En 2012 l’architecte Monique Labbé a fondé le Projet National de Recherche « Ville 10D, villes d’idées » pour explorer la capacité du sous-sol urbain à contribuer au développement harmonieux et durable de la ville. Cette démarche est avant tout le fruit d’une passion.
Dès le début de sa carrière d’architecte, Monique Labbé s’est investie dans l’étude des aménagements souterrains, en abordant des sujets très divers comme les habitats troglodytes de la région de Madrid ou, en collaboration avec Pierre Duffaut, les possibilités d’aménagement du sous-sol dans le Val-de-Marne.
La conquête du sous-sol
L’absence de façade, la malléabilité et la fluidité des aménagements souterrains expriment l’assouvissement de besoins au fur et à mesure de leur apparition – création d’une alcôve pour un meuble, adjonction d’une pièce, extension d’un volume naturel etc. – dans une sédimentation temporelle et une ramification spatiale tridimensionnelle qui s’oppose aux ordonnancements codifiés de l’architecture de surface.
Réseau urbain
Si l’espace souterrain présente un renouvellement de perspective et d’opportunité dans le domaine de l’architecture, c’est à l’échelle de la ville qu’il peut développer son plein potentiel. L’extension de la ville en sous-sol en réponse à de nouveaux besoins fonctionnels et la connexion des espaces répondent aux nouvelles attentes de la ville durable, pour limiter l’étalement urbains, compactifier les réseaux, favoriser la mixité fonctionnelle etc. Le PN Ville 10D est donc avant tout ancré dans le domaine de l’urbanisme.
Perception extérieure
Dans les premières années de son exploration de l’urbanisme souterrain, Monique Labbé s’est heurtée à un scepticisme parfois amusé de la part des Maître d’Ouvrages quand elle a cherché à développer le potentiel du sous-sol urbain, le concept apparaissant comme un oxymore fantaisiste sans réelle possibilité d’application à l’urbanisme général.
Les choses ont radicalement changé. L’idée de démultiplier la ville en sous-sol pour en améliorer la durabilité dans toutes ses dimensions, d’un point de vue environnemental mais aussi au niveau de la pertinence sociale et de la sobriété économique, devient de plus en plus consensuelle. Pourtant les exemples de mise en œuvre d’un véritable urbanisme souterrain restent rares.
Contenu de la recherche
Le projet de recherche Ville10D a mobilisé des partenaires nombreux et divers : laboratoires de recherche, établissements et organismes publics d’étude et de recherche, maîtres d’ouvrage d’aménagement urbain, de transport ou d’énergie, services de l’Etat et collectivités territoriales, entreprises et sociétés d’ingénierie œuvrant dans l’aménagement urbain ou dans la logistique urbaine
Les partenaires ont travaillé sur quatre thèmes sectoriels (socio-économique, environnemental, psycho-social, cognitif) qui ont été croisés du point de vue de la planification urbaine et du droit et confrontés à des sites d’application. Après avoir établi un état des lieux de l’aménagement de l’espace souterrain, les chercheurs ont élaboré, dans chacune des thématiques, des propositions et recommandations pour lever les obstacles à l’usage urbain du sous-sol et améliorer les conditions de son aménagement.
Actualité
Monique Labbé travaille actuellement à la rédaction d’un « Guide des bonnes pratiques de l’espace souterrain » qui proposera une synthèse des recherches et recommandations élaborées par le projet national de recherche, pour accompagner les acteurs de la fabrication urbaine, en particulier les Maître d’Ouvrage, dans leur appropriation du sous-sol et répondre aux questions qu’il se posent, voire aux doutes qu’ils éprouvent, au sujet de l’urbanisme souterrain. Cet ouvrage sera publié début 2023.